Crest-Die par les chemins de traverse
Mercredi 14 avril 2010, Crest-Die AR, vélo de route, 86 km , 850 m D+
Anne, une amie grenobloise, étant en vacances avec deux de ses filles au VVF à Die, nous avons décidé de profiter de ce dernier jour de vacances de Jérôme pour aller lui rendre une petite visite. Nous nous garons ... à la gare de Crest.
Pause fromage de chèvre au marché de Beaufort
L'idée est de rejoindre Die en passant par le col de la Croix (735 m) . C'est mon quatrième passage de ce col (le second pour Jérôme, et à vrai dire, c'est un régal ! Une petite route pratiquement dépourvue de circulation automobile s'élève tranquillement le long d'une rivière (la Sepie) jusqu'à 555 m d'altitude. de Crest jusqu'au village d'Escoulin, on ne rencontre que des pentes très douces, ce qui peut faire de ce parcours en aller retour une initiation douce au cyclotourisme, pour des personnes n'ayant pas l'habitude des montées.
Vue du Col de la Croix
Au delà, il reste 3,5 km, mais là au contraire ça grimpe bien ! On bascule ensuite dans le tranquille val de Quint, où coule une rivière bleutée et abondante qui s'engouffre ensuite dans un profond canyon. Le ravissant village de Ste Croix est accroché à flanc de colline.
Il fait toujours frais, mais le grand soleil donne un ressenti bien différent de celui de lundi.
Vue depuis le VVF "Les Voconces"
On arrive alors sur la route principale, mais on n'est alors plus très loin de Die. une surprise nous attend, le VVF est perché en haut d'une côte pas si négligeable que ça ! Nous retrouvons Anne à l'entrée du site. L'endroit est très joli, l'aménagement est très sympa, avec une vue fabuleuse sur les falaises du Glandasse. Mais il n'est pas très pratique pour des vacanciers sans voiture, car un peu loin du centre ville.
Déjeuner avec Anne
Nous profitons d'un ravitaillement haut de gamme sur notre circuit du jour !
Vallée de la Drôme
En début d'après-midi, chacun vaque à ses activités et nous repartons, cette fois le long de la Drôme (en évitant la route principale entre Pontaix et Vercheny). Le retour est rapide, avec un vent bizarre qui parfois nous pousse, parfois nous freine brutalement en une violente rafale.