En pente douce
Dimanche 16 septembre 2007, Dalle du Claps, Luc en Diois

La dalle du Claps à Luc en Diois, dont la configuration doit beaucoup à l'éboulement de 1442 , offre une escalade en pente douce qui ne demande guère d'efforts. Qui plus est, il s'agit d'une escalade totalement sur les pieds, dans un rocher parfait, et de difficulté modeste, ce qui en fait un objectif original, et d'un style pas si courant .

C'est parfait en ce lendemain de fête ! Le repas entre voisins d'hier midi s'étant prolongé pour notre plus grand plaisir, avec le goûter, l'apéro puis le dîner ...
Revenons donc à notre dalle ... les premières longueurs permettent toutes les fantaisies, y compris celles de grimper sans les mains. Quelques esprits chagrins ont il y a quelques temps exprimé leur regret d'y trouver une exposition excessive et deux à trois spits par longueur.
Certes, on ne peut pas nier le fait qu'on arrive au relais avec presqu'autant de dégaines qu'au départ. Mais la difficulté modeste rend cette exposition tout à fait tolérable, et la chute parfaitement improbable.
L'ambiance est peu vertigineuse et relaxante. Les deux dernières longueurs, plus équipées, sont aussi un peu plus redressées. le tout ne dépasse pas le IV même en cherchant bien , mais les huit longueurs sont toutes agréables.

La descente à pied par derrière est courte mais pénible, le terrain couvert de petites pierres qui roulent obligeant à s'accrocher aux arbres. On finit cependant par rejoindre le lac (où l'on peut enchaîner sur la via ferrata ... ou la buvette ....)
La dalle du Claps à Luc en Diois, dont la configuration doit beaucoup à l'éboulement de 1442 , offre une escalade en pente douce qui ne demande guère d'efforts. Qui plus est, il s'agit d'une escalade totalement sur les pieds, dans un rocher parfait, et de difficulté modeste, ce qui en fait un objectif original, et d'un style pas si courant .
C'est parfait en ce lendemain de fête ! Le repas entre voisins d'hier midi s'étant prolongé pour notre plus grand plaisir, avec le goûter, l'apéro puis le dîner ...
Revenons donc à notre dalle ... les premières longueurs permettent toutes les fantaisies, y compris celles de grimper sans les mains. Quelques esprits chagrins ont il y a quelques temps exprimé leur regret d'y trouver une exposition excessive et deux à trois spits par longueur.
Certes, on ne peut pas nier le fait qu'on arrive au relais avec presqu'autant de dégaines qu'au départ. Mais la difficulté modeste rend cette exposition tout à fait tolérable, et la chute parfaitement improbable.
L'ambiance est peu vertigineuse et relaxante. Les deux dernières longueurs, plus équipées, sont aussi un peu plus redressées. le tout ne dépasse pas le IV même en cherchant bien , mais les huit longueurs sont toutes agréables.

La descente à pied par derrière est courte mais pénible, le terrain couvert de petites pierres qui roulent obligeant à s'accrocher aux arbres. On finit cependant par rejoindre le lac (où l'on peut enchaîner sur la via ferrata ... ou la buvette ....)